Tout savoir sur le détachement hors et dans l’éducation nationale
Après le succès du 7 mars, l’intersyndicale appelle à des journées encore plus massives le 11 et le 15 mars prochain
Abandon de la labellisation des manuels scolaires, nouveaux programmes de C1 et 2, demande de report des programmes de C3
A la rentrée 2023, 300 professeurs d’enseignement général de collège (PEGC) étaient encore en activité. Ce « corps » du second degré a un statut particulier hérité de l’histoire de l’école. Il est en « extinction » comme le dit la loi, c’est-à-dire voué à disparaître au fil des départs en retraite, mais ses personnels, actifs comme retraités, ont encore des droits à faire valoir.
Le 9 novembre : journée de lutte contre le harcèlement et questionnaire du ministère
Annonces sur l’uniforme : entre fausses réponses aux inégalités et volonté de maintien de l’ordre à l’école.
Projets de programmes en français et math pour les C 1 et C2 : de nombreuses inquiétudes
Le gouvernement doit retirer sa réforme. Face au déni démocratique, la mobilisation est impérative et doit s’intensifier
Retour sur le Comité Social d’Administration Ministériel (CSA-MEN) du 6 mai 2025
Les personnels titulaires remplaçants (TR) peuvent être mobilisés dès la première journée d’absence d’un·e enseignant·e pour le ou la remplacer. Une circulaire de 2017 préconise désormais la création d’un vivier unique de remplacement. Il revient aux DASEN après consultation des CSA-D de déterminer les zones de nomination et d’intervention des remplaçants. Les TR sont rattachés administrativement à une école et affectés soit dans une brigade départementale de remplacement (BD), gérée par la DSDEN, soit sur une zone d’intervention localisée gérée par les circonscriptions. Ces personnels sont aux alentours de 31 000 aujourd’hui, un nombre encore bien insuffisant pour faire face aux besoins de remplacements.
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