Programmes, un centralisme non démocratique

Mis à jour le 06.11.18

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Pour Denis Paget, une des principales singularités de l’école française réside dans la centralisation de la définition des programmes d’enseignement. Loongtemps membre du Conseil supérieur des programmes, il explique que l'instance a travaillé de manière indépendante et dans un esprit d’ouverture mais elle est aujourd’hui en cours de dévitalisation.

L'entretien complet dans "Fenêtres sur cours" spécial

Professeur de lettres modernes. Responsable des programmes et contenus d’enseignement au SNES pendant 19 ans, chargé de recherche à l’Institut de recherche de la FSU, il est l’auteur de plusieurs ouvrages et de nombreux articles sur les savoirs scolaires. Expert associé au Centre international d’études pédagogiques, il a été nommé en 2013 au Conseil supérieur des programmes et a participé à l’écriture du socle commun et des programmes de 2015.

Denis Paget