M-A. Grard , partie du CSP

Mis à jour le 16.11.18

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Elle explique sa démission du Conseil supérieur des programmes

« J’ai décidé de quitter le CSP, car il n’y avait plus de discussions ni d’échanges possibles en son sein. La nouvelle présidente ne souhaitait pas que nous échangions nos idées dans cette instance mais que nous soyons une sorte de chambre d’enregistrement des demandes du ministre. Or la richesse du CSP, c’était justement sa composition avec des membres d’horizons très différents, divers spécialistes et des représentants de la société civile qui ont énormément enrichi les débats. Ils ont tous beaucoup travaillé et chacun a pu apporter son domaine de connaissances particulier. Dans la forme du travail, nous prenions nos dispositions pour voir comment travailler sur un sujet. Qui allions-nous auditionner ? À qui allions-nous demander de travailler plus particulièrement sur tel et tel point parce qu’il nous fallait un éclairage ?
Ces questionnements, ces allers-retours avec des professionnels très divers étaient essentiels pour réussir à écrire des programmes qui prennent en compte les enjeux de notre temps. Et pour moi qui suis auprès des familles pauvres je considère qu’il faut accorder une grande attention à ces questions. » 

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